Elle prend fin en 1918 avec la défaite allemande, et l'empereur allemand, le Kaiser Guillaume II, doit abdiquer en raison de la Révolution allemande de novembre 1918.
Ainsi, Tocqueville craint une tyrannie de la majorité, l'individu tendant à abdiquer sa volonté personnelle au profit de l’État, et la majorité pouvant opprimer la minorité.
En 476, Odoacre prend Ravenne et force le jeune empereur à abdiquer le 4 septembre.
Face à la déliquescence de son pouvoir, Louis XVI ne choisit pas d'abdiquer, estimant que l'onction reçue lors de son sacre et le caractère séculaire de la monarchie l'en empêchent.
Après sa défaite militaire, les maréchaux forcent l'empereur à abdiquer et il est déchu par le Sénat dès le 3 avril.
Napoléon dut en effet abdiquer quatre jours plus tard à son retour à Paris, le 22 juin, face au manque de soutien politique.
Eugénie révèle plus tard qu'ils avaient pris la décision d'abdiquer en 1874, quand leur fils aurait 18 ans, pour se retirer à Pau et à Biarritz.
En Allemagne, l'empereur Guillaume II refuse d’abdiquer, ce qui entraîne des manifestations en faveur de la paix.
Les pouvoirs investis au monarque par la constitution de la Norvège ont au cours du XXe siècle été largement symboliques, sauf dans quelques cas importants comme pendant la Seconde Guerre mondiale, où le monarque annonçait qu'il allait abdiquer si le gouvernement capitulait face aux demandes des Nazis.
Les forces britanniques et soviétiques envahissent le pays et forcent Reza Shah à abdiquer en faveur de son fils Mohammad Reza Pahlavi.